04 mai 2006

FINK, quand un D.J trouve une guitare


Espoir prometteur d’un trip-hop jazzy, originaire de Bristol, le jeune homme avait même signé un premier album sur le fameux label Ninja Tune.
Laissant de côté platines et machines, Fink n’a gardé qu’une base guitare-voix. A peine quelques arrangements électro de-ci de-là. Pour conter une histoire. Sa propre histoire dit-il. Car ce disque, écrit à la première personne, est une forme d’introspection : émois amoureux (Pretty little thing), bad-trips (Pills in my pocket) ou détresse affective (Kamlyn), l’occasion de livrer des sentiments à vif. Un blues moderne servi par une ambiance sourde, rehaussée par quelques accords de guitare sèche et une voix traînante, un peu pincée, qui rappelle celle de Ben Harper. Sans oublier une petite touche féminine apportée par la chanteuse Nina Grace sur un des titres du disque (Tina Country).
Vraiment appréciable cette ptite galette (merci a musiqualité)
http://www.finkworld.co.uk/
extraits dans la radioblog

1 Comments:

At 7:41 PM, Anonymous Anonyme said...

Encore merci je l'ai acheté aujourdh'ui(car j'avais écouté les extraits dans la radio-blog) et j'adoore !
Pat

 

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